Je possédais un cheval moi ? / Annabeth \

" Je ne me moquerais pas, je rigolerais mais je ne me moquerais pas !"

" Tu vois, tout commence bien..."

Percy n’en revenait pas, il avait monté Atlantide comme ça, comme s’il avait l’habitude monté à cheval. Alors que cela faisait la première fois que Percy approchait de près cet animal. C’était étrange mais en même temps maintenant plus rien de pouvait le surprendre. Il caressa la tête de son cheval qui hennit. Puis dans il se mit à penser à sa mère, si celle-ci le voyait à cet instant précis, elle croirait surement qu’elle était en plein rêve. Son fils devenir cavalier. Percy releva la tête quand Annabeth prit la parole pour lui dire qu’elle ne se moquerait pas. Il sourit, finalement elle ne s’était pas moqué ni rit de lui. Il avait réussi du premier coup. Bon, Atlantide n’avait pas bougé de place. Donc, il s’abstenait de commentaire, il verrait un peu plus tard ce que donnerait la suite des évènements. Percy caressa de nouveau la tête du cheval puis lui répondit :

« Ca me rassure »

Percy haussa les épaules en même temps qu’il se mit à sourire. Il avait fait le même geste quand il était revenu au camp en compagnie de sa mère après que Zeus est décidé de ne pas annuler la menace de la guerre. D’ailleurs, Percy n’essayait pas de penser à la date de cette guerre qu’il ignorait. Mais il savait que le choix des camps seraient difficiles pour tous…enfin du moins pour lui. Mais Percy était sur d’une chose c’était qu’il était contre celle-ci et ferait tous pour pouvoir la stopper avant. Mais ça c’était plus facile à dire qu’à faire…

« Oui tu as raison mais évitons de parler trop vite, ça pourrait s’arrêter là »

Percy se mit à rire puis vit Annabeth parler à son cheval et partir au galop. Il la regarda prendre de l’avance puis se tourner vers lui pour lui faire signe de la suivre. Il hocha la tête et se mit à parler à Atlantide. Avant que celui-ci ne commence à trottiner, Percy prit une grande respiration et Atlantide commença à avancer. C’était assez étrange comme sensation. C’était la première fois mais il avait l’impression d’en avoir fait depuis toujours. Chaque geste lui venait naturellement. Percy était toujours entrain de suivre Annabeth légèrement en avance. Quand son cheval s’arrêta, s’il ne s’était pas tenu, Percy aurait sûrement voltigé devant le cheval. Il se passa une main dans les cheveux puis demanda à Atlantide ce qui n’allait pas. Celui-ci secoua la tête puis avança de nouveau. Il se dit qu’il faudrait du temps pour qu’Atlantide et lui se comprennent parfaitement. Mais il n’en doutait pas, après tout, ils ne se connaissaient que depuis une journée. Il faudrait quelques jours mêmes quelques mois pour que ces deux-là s’habituent à la présence de l’autre. Mais Percy était confiant. Même si son cheval ne voyait plus la silhouette de la jeune femme sur son cheval, il savait où elle se trouvait. Il tourna dans un petit chemin et ils se retrouvèrent dans une prairie. Il ne connaissait pas ses endroits. Son regard suivit l’horizon et vit un peu plus loin Annabeth qui semblait l’attendre. Atlantide s’arrêta prés d’Olympe et se mit à manger l’herbe qui se trouvait à ses pieds. Percy eut un sourire caressant la tête de son cheval puis se redressa pour parler à Annabeth. Mais avant il jeta un regard à la vue de cete prairie qui se perdaient à longueur de vue. D’ailleurs, il avait un pressentiment…un mauvais pressentiment en voyant cette prairie. Vous savez ce genre qui vous dit que quelque chose cloche mais que vous ne voyez rien de suspect. Repoussant ses pensées, il haussa les épaules puis dit :

« Excuse du retard, on a eu un léger problème.. »

Comme si Atlantide l’avait compris, il se mit à hennir mais Percy avait l’impression qu’il se moquait un peu de lui. Puis se questionnant toujours sur cete mystérieuse plain, il ajouta :

« Je ne connaissais pas cet endroit.. »

Annabeth attendait donc tranquilement que son amoureux arrive dans la prairie. Bien sûr cet endroit pouvait être dangereux si ont ne connait pas la présence de la fontière mais autrement c'est une prairie magnifique où Annabeth adore galoper et surtout jamais personne ne vient ici, ils seront seuls... tranquilles.
Annabeth vit alors Percy arriver au loin sur Atlantide, il avait l'air détendue et surtout il avait l'air de commencer à comprendre Atlantide. Percy arrive au niveau de Annabeth

PERCY : Excuse du retard, on a eu un léger problème.. »

Annabeth fronça les surcils quand Atlantide se mit à hénnir. Elle regarda Percy puis descendit de sa monture. Les herbes étaient un peu haute, elles lui arrivaient au niveau des cuisses. Annabeth s'approcha de percy pui se mit juste en dessous de lui le regardant d'en bas.

ANNABETH : C'est normal, las bas, à environ 300 mètres se trouve la frontière du camps. Si tu dépasse cette frontière tu sera detectable et donc en danger...

Annabeth n'avait pas très bien vécue cette expérience avec les furies, elle le regarda.

" Je l'est franchise une fois et je me suis faite attaquer par des furies. J'avais 10 ans et j'ai réussie à m'en sortir, mais c'est surtout grâce à Olympe. Un conseil, écoute toujours les instincts d'Atlantide, ils pourront te sauvez la vie. "

Annabeth regarda Percy puis lui souria, ce n'était pas souvent qu'ils pouvaient être seuls tous les deux et profitez l'un de l'autre. Annabeth avait encore un peu de mal avec l'idée même d'être amoureuse, mais c'est ce qu'elle était. Amoureuse de Percy, et cela elle en était sûre. D'ailleurs cela risquera de poser un probléme quand il faudra choisir un camps... Jamais elle n'accepterais de la perdre pour une de ces stupides histoires de "grands dieux". Annabeth arreta de penser à tous cela puis alla sortir une couverture qui se trouver dans la sacoche sur olympe. Elle l'étendit sur le sol puis s'asseya dessus tout en regardant Percy...

Percy regardait toujours cette plaine qui lui donnait légèrement un peu la chair de poule sans savoir pourquoi. Il ne s’était jamais rendu dans ce lieu préférant le lac. Percy se trouvait toujours sur Atlantide alors qu’Annabeth venait tout juste de descendre de sa monture. Elle devait connaître cet endroit car en voyant le chemin qu’ils avaient du emprunter…lui-même n’aurait jamais pensé trouver une plaine ici. Percy se passa une main dans les cheveux puis écouta Annabeth qui lui expliquait en quelque sorte la nature de cette plaine. Il comprenait mieux pourquoi quelque chose le tracassait rien qu’en regardant le paysage. Son instinct sûrement devait lui parler. Percy haussa les épaules et posa de nouveau son regard sur la jeune femme. Puis elle commença à raconter l’une de ses aventures, Percy l’écoutait attentivement. Il hocha la tête à la fin du monologue d’Annabeth.

-Eh bien heureusement que tu avais Olympe pour t’aider parce que même si je ne doute pas de tes qualités de compétente bien que tu me battras pas dit-il avec un sourire tu ne t’en aurais pas sorti facilement. C’’est bizarre pourtant, l’endroit parait si calme qu’on ne douterait pas un seul instant que le danger était tout prêt…

Percy caressa la crinière de son cheval puis se mit à regarder de nouveau la plaine en fronçant les sourcils et ajouta :

-Surtout qu’il n’y a rien pour délimiter le camp…pas comme l’entrée principale. Et comment as-tu découvert cet endroit au faite ? Parce que c’est un peu un coin perdu..

Percy eut un sourire puis descendit de sa monture. Olympe ne perdit pas de temps et alla rejoindre Atlantide pour manger de l’herbe. Il eut de nouveau un sourire en voyant son cheval puis rejoignit Annabeth. Même s’il restait debout, les bras croisés alors que celle-ci était assise sur une couverture. C’était un endroit très silencieux seul le bruit du vent et des deux animaux coupaient ce calme absolu. Percy n’avait jamais aimé le calme peut-être parce que justement cela signifiait que quelque chose se préparait à l’horizon. Il soupira en regardant l’herbe à ses genoux.

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Bien que cet endroit était une source de danger potentiel, Annabeth aimait si rendre. Elle aimait venir s'entrainer transquilement ici. Les seuls demi-dieux qui connaissent l'existence de cette prairie ont trop peur pour y aller. Annabeth n'est pas inconsciente pour autant, elle vient souvent ici mais elle ne traverse jamais la limite. Elle est peut-être puissante mais seule contre une trentaine de furies elle ne ferait surement pas le poid. Elle ne regrette pas d'avoir franchit cette limite il y a quelques années puisque c'est comme ça qu'elle c'est rendue compte qu'elle devait avoir une confiance absolue en Olympe, ce qu'elle à depuis et qu'elle n'a jamais remit en cause.

PERCY : « Eh bien heureusement que tu avais Olympe pour t’aider parce que même si je ne doute pas de tes qualités de compétente bien que tu me battras pas dit-il avec un sourire tu ne t’en aurais pas sorti facilement. C’’est bizarre pourtant, l’endroit parait si calme qu’on ne douterait pas un seul instant que le danger était tout prêt… »

PERCY « Surtout qu’il n’y a rien pour délimiter le camp…pas comme l’entrée principale. Et comment as-tu découvert cet endroit au faite ? Parce que c’est un peu un coin perdu..»

« Je l'est découvert au cour d'un jeu de l'étandard. Tout simplement enfaite. J'était devenue alors omnubiler par cette plaine que je trouver sereine et magnifique. Je crois qu'etant la fille de la déesse de la sagesse j'ai besoin de ce genre d'endroit, de me retrouver au calme, sereine.... Ce n'est qu'aprés -avec Olympe- que j'ai découvert qu'elle pouvait être aussi dangereuse que sereine. Mais ne t'inquiète pas, tant que tu ne dépasse pas les deux arbres du bout, tu n'est pas en danger. La frontère ce trouve un peu aprés de ces deux arbres.
Ha et aufaite, ne soit pas si sur de toi, Cowboy. Je te bat quand je veu ! »