I - CARACTERE.

Je ne peux pas te garantir que j'ai un caractère en or. Je peux être gentille comme méchante. Cela dépend entièrement de toi. Je précise que la plupart du temps je suis une fille sympa, relativement sociale mais je suis très très obstinée. J'aime aidé et faire plaisir aux gens, uniquement si ils me rendent mon bonheur. Mes voisins de paliers y sont habitués au fait que je mette la musique à fond dans mon appart’. Je n’aime pas être seule en réalité, dans mes grands moments de dépression il ne faut pas m’approcher mais sinon j’aime bien être avec mes amis . Je suis un vrai moulin à paroles. Le travail ne me gêne pas, si j'arrive à mon but je suis capable de travailler nuit et jours. Globalement je suis gentille. Une princesse ? Pas du tout, je ne fais pas partie du groupe " miss mascara et gloss", je fais partie du groupe "étudier pour vivre et manger des choses saines comme les petits humains". Mais je ne suis pas non plus le genre à me faire marcher sur les pieds ! Quand je veux quelque chose je l'obtiens. Je suis trop téméraire, enfin, je fonce un peu tête baissée devant le danger. Normalement je serais morte plusieurs fois, mais il se dit que je suis toujours là… Je tiens aussi à préciser que je suis folle amoureuse du coca-cola ...

II - PHYSIQUE.

Je me demande pourquoi cette catégorie existe, j’ai l’impression de me présenter pour un site de rencontre, mais bon, je vais faire avec. Je suis châtain clair, les cheveux long, bon ils sont mi-longs si tu veux et souvent détachés. J’ai une peau très claire avec les pommettes de couleurs rouge à force de rire, la couleur est restée. Mes yeux sont d’un vert émeraude, je ne me maquille que très rarement, aux occasions, comme Noël par exemple, même si je ne fête plus Noël. Bon je porte des lentilles bleus, juste histoire de ma cacher, si les Dieux m'ont jeter de l'Olympe, c'est pas pour me revoir. J’ai une jolie bouche, on ne va pas s’attarder dessus. Je suis une petite fille, comme le dirais mon ‘oncle’, je fais un mètre soixante sept, très petite pour mon âge, ce qui ne m’empêche pas de porter des converses à longueur de journée. On ne peut pas dire que je sois mince, on ne peut pas dire que je sois grosse, j’ai des rondeurs comme il faut. Je ne suis pas anorexique hein, et on ne m’appelle pas sumo… Sinon a par ça je ne sais pas quoi dire, je ne vais te donner ma pointure de chaussure quand même.

III - HISTOIRE.

Pandore n’a jamais su se tenir, depuis l’ouverture de la fameuse boîte comme le dirait Zeus. Elle fleuretait ici et là et comme tout le monde le sait, étant déesse de la fécondité, mademoiselle a eu des enfants en claquant des doigts. Bon la plupart du temps elle les tuait pour cacher ses ébats à son mari mais elle garda une petite fille qu’elle cachait dans l’armoire de sa chambre. Elle l’avait appelé Pandora pour garder la trace. Mais la jeune déesse ne gardant pas son enfant très longtemps, le jour où son mari découvrit l’enfant tout tourna très mal. Pandore avait ouvert la boîte, était donc mortelle, et l’avait bien cachée à son mari qui s’emporta très vite et tua Pandore sans le vouloir. Épiméthée sût très vite qui était le père, vu que Pandore passait beaucoup de temps chez le dieu de la nature Pan. Épiméthée ne passa pas par quatre chemins et décida donc d’envoyer cette orpheline aux humains avec une petite lettre indiquant son prénom, sa datte de naissance et un lieu de résidence. La jeune fille grandit dans une maison classique avec une femme qui avait divorcé très jeune. Pandora avait un intérêt particulier pour la nature mais ce qui est de l’école c’était autre chose. Mademoiselle était très intelligente, mais totalement incapable de lire quelque chose sans y placer un commentaire. Première de la classe en langue grec, on se demande tous pourquoi. Jusqu’au jour où tout changea, sa mère adoptive lui donna l’adresse de la fameuse résidence et Pandora s’y rendit. Je pense que à cette étape de l’histoire, je peux te dire que c’est moi Pandora, car cela devient désagréable de te mentir en disant que je me m’appelle je ne sais plus comment. Donc bref, maintenant que je vais pouvoir te compter mon histoire à la première personne tu vas arrêter de bouger sur ta chaise et tu vas m’écouter.
J’entrais dans une vieille demeure toute pourrie et suivit le plan qui était tracé sur la feuille. Le chemin menait vers le grenier, avec des phrases disant que les objets qui s’y trouvaient appartenaient à ma mère et qu’ils étaient à moi si je le voulais. Finalement je pense que Épiméthée m’aimait bien quand même. Curieuse comme je suis, je touchais à tout. Puis je vis la boîte Pandore, je la connais, j’écoute quand même les cours, moi. Je m’approchais en sautillant de la boîte et vis un collier posé dessus. Un arbre d’argent y pendait, avec comme inscription un petit ‘PAN’ sur le côté. C’est là que je me posai pleins de question et c’est le jour même que ma mère m’annonça qu’elle n’était même pas ma mère. Je fuis de la maison, cherchant à retrouver mes parents …

IV - DECOUVERTE DES POUVOIRS.

J’étais partie, comme mon père, sans un mot, sans un au revoir, sans rien, comme je savais si bien le faire. Je ne me suis jamais retournée et je n’ai jamais rien attendu. Pour moi, rien ne valait la liberté, et la famille. Je passai mes journées au musée, cherchant réponse, en vain comme toujours. Je me souvins encore de cet après-midi à Central Park. C’est là qu’il est venu me parler, ce si gentil fils d’Apollon au nom de Peter. Lui aussi errait en quête de sa famille, et je me sentais moins seule avec lui. C’est avec lui que je vivais temporairement. J’étais en appartement, il était juste dans la chambre d’à côté, mon voisin. Mais j’aurais dû me douter qu’une telle relation tournerait au désastre, comme à chaque fois en faite. Je l’aimais. C’était si compliquer que ça ? Il faut le croire… J’étais en forêt avec lui, proche de trouver les réponses à mes questions. Mais il faut toujours que ça tourne mal avec moi, et oui. Une sorte de grosse bête toute moche dont le nom m’échappe, avait eu l’idée trop géniale de nous attaquer. Bien sur Peter avait des pouvoirs magique, un peu bidon comme l’assourdissement mais bon, c’est toujours ça. Moi j’étais cachée derrière un autre, serrant très fort mon collier. Jusqu’au moment où la créature me trouva, mais impossible de me toucher. Comme si j’avais un bouclier magique autours de moi, venant du collier. Collée à l’arbre, je l’entendais murmuré. Il disait qu’il avait peur, peur pour lui et peur pour nous. Au début, je me pris pour une folle. Jusqu'au moment où une pousse sortie de ma main, c’est le moment où je criai de toute mes forces, le moment où la bête de retourna, donnant un coup de griffe fatal à Peter. Ne cherchant plus à comprendre, je bondis sur la bête et des lianes sortirent de nulle part, agissant comme un boa, étranglant la bête. J’accourut près de Peter, n’ayan aucun pouvoir en médecine, je m’apitoyais sur son sort. Je me souviens très bien de sa dernière phrase avant de mourir. ‘ Protège toi bien Pandora … Je t’aime.’ Je passai donc ma nuit à pleurer sur son corps, sous la pluie, à côté de la bête poilue qui était morte. Je me levai au matin, et creusai un trou au pied du bel arbre de la forêt qui était encore endormi. Je déposai le corps de Peter dans le trou et y déposa mes chaussures. C’est lui qui me les a offertes, il disait qu’elles m’allaient très bien et qu’elles me rendaient jolie et aventurière, perso je ne vois pas en quoi une paire de converse changerait quelque chose. Je pris quand même le pied gauche, juste pour … me souvenir de lui. Je rebouchai le trou et partie dans la forêt. En marchant comme une âme perdue je découvris une sorte d’arche avec des inscriptions grecques, et je n’eu meilleurs idée que de passer en dessous. Et voilà où s’arrête mon histoire …

V - IRL - DANS LA VRAIE VIE QUOI.

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